J’ai fait une découverte super excitante (mais pas surprenante) en tapant « marathon merzbow » sur Google (étrangement, je ne vois pas notre blogue dans les résultats de recherche… pourquoi? ☹). J’ai appris qu’une station de radio américaine, la Georgia Tech’s station, a déjà organisé un Marathon Merzbow :
« In what's likely the most obscure and counterintuitive move in the history of radio, Georgia Tech's station, WREK, will hold its first-ever (and surely anyone's first-ever) Merzbow Marathon, Dec. 18-20. The station will play the work of prolific Japanese noise artist Merzbow for 53 straight hours, beginning Dec. 18 at 7 p.m. In case you're not familiar with Merzbow's material, it's interesting stuff on an intellectual level -- maybe even worth hearing for short periods every once in a while. But 53 hours? I wouldn't wish it on my worst enemy. That's 91.1 FM, in case you want to really piss off your roomates this weekend. » (Creative Loafing, 11 décembre 2002)
Ça me rassure de voir que je ne suis pas seule à avoir des idées comme ça.
La prochaine étape (je suis ambitieuse) : Un Marathon mondial.
mercredi 26 mars 2008
Un autre marathon!
Publié par Lora Zepam à 20:07
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21 commentaires:
Malade. On a quasiment posté en même temps.
À la radio ça devait être intense... Imagine avec les distorsions produites par les réceptions radiophoniques hasardeuses pour au moins certaines personnes... Wah... (On note l'apparition des points de suspensions chroniques dans mon discours, est-ce que je me dirige vers un délire Célinien?..)
Céline+Merzbow=WhA!!!...aaAAAaahhhghhh!!...!
(Je pense que tu vas t'en sortir.)
Mais, si ça va vraiment mal, tu ne te gênes pas pour le dire, hein?
Fort bien, on revient à Céline. Hier je postais à son propos sur mon blog. Citation retenue: «C'est l'âge aussi qui vient peut-être, le traître, et nous menace du pire. On n'a plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie, voilà. Toute la jeunesse est allée mourir déjà au bout du monde dans le silence de vérité. Et où aller dehors, je vous le demande, dès qu'on a plus en soi la somme suffisante du délire? La vérité, c'est une agonie qui n'en finit pas. La vérité de ce monde c'est la mort. Il faut choisir, mourir ou mentir. Je n'ai jamais pu me tuer moi.», p. 200 du Voyage au bout de la nuit...
Nanon so, je vais correct...En fait mes muscles se sont tellement tendus qu'ils sont super mous maintenant... Je me sens ailleurs. C'est le temps de faire des pouems.
Ben oui, Msieur Bock, je viens de voir que tu as parlé de Céline. Oué! Va faire un tour su mon bleu-ohg, jai au moins un bon essai sur Céline vs Pwnage sur un forum de chars dessus.
Ayoye! C'est cool, on poste toujours quasiment tous en même temps comme des lemmings - totalement synchrone.
Poulpe : Ah, tu es dans une sorte de buzz post-adrénaline. Chouette.
Methanal : HAHAHA! Nous sommes des lemmings qui courons vers le précipice de la vie!! Woooouuuuh!
Lorapet : tu l'aura dis. Oui.
Flaming Meth.
Chevelure de feu et langue vibrante.
T'es folle. :)
(Venant de moi, c'est un compliment.)
(Surtout quand j'ajoute un smiley pour éviter toute confusion.)
AAAAAAAH des lemmings! Nice!
Quelqu'un a vu le film français fucké du même nom? Quelqu'un peu me l'expliquer? (j'avais écrit "excité"...)
So, c'est exactement ça. Le parasympathique prend le dessus.
Une fois, il y avait un couple exemplaire. Avec une nouvelle job. Pis un lemming dans le drain. Une femme se suicide chez eux. Fondu au noir.
Mine patibulaire de Charlotte. Fondu au noir.
Quelqu'un a déjà joué au joué 8-bytes de Darnziak, "Tue ton lemming"? Ça m'intrigue depuis un bon moment...
Raymond Bock : o_O
Oué, j'avais compris ça du film... C'était de décider de ce qui était réel ou fantasmé qui m'embêtais.. Puis je me suis rendue compte que les cinéastes faisaient peut-être exprès de jouer avec nos cerveaux.
Non, mais j'aimerais ça en sale jouer à ce jeu-là MAINTENANT! Il devrait nous le passer qu'on joue. En gang. Avec du Merzbow. Sous l'Échangeur.
Vous êtes en FEUX !
Ça me rappelle le bon vieux temps des Crottés, en mieux, peut-être.
Je crois qu'il y a un problème avec le feedbow. Les commentaires récents ne s'affichent plus depuis longtemps.
La masturbation intellectuelle entraîne la diarrhée verbale...
Voici un commentaire analytique fort universitaire à propos du second lemming du film, la femme adultère et séductrice, la corruptrice suicidaire: «Hyène glaciale toisant, derrière ses lunettes noires, ses hôtes avec un royal mépris, cette dame spectre fige l'assistance en un rageur règlement de comptes conjugal : les convives sont médusés, les spectateurs saisis par le choc brutal de ces deux couples, l'un "modèle" (Laurent Lucas - Charlotte Gainsbourg), l'autre haineux (André Dussollier - Charlotte Rampling). Ces deux perturbateurs, le mammifère et le succube, sont des semeurs de doute, tant sur l'écran que dans la salle.»
Pars avec ça, Poulpe, moi je suis plus...
Et de citer ma source, pour ne pas avoir l'air moi-même d'un bousier de l'esprit:
http://www.lemonde.fr/seq-spe-fermee/article/2005/05/12/lemming-un-jeune-couple-ronge-par-une-etrange-rencontre_648928_646681.html#ens_id=647069
Darnziak connait Merzbow (et je crois qu'il l'aime), on devrait le mettre au courant de notre Marathon. Et lui dire qu'on a très envie de jouer à Tue ton lemming.
Al, j'avoue que c'est effervescent ici. Fébrile même. Pyrexique?
Oui, la suicidaire c'était mon personnage préféré. J'la trouvais vraiment hhott.
Kikihidiàjipi?
Ou beudon on s'garoche toute su' no emails? J'vote pour ça.
Voyons faudrait que je soupe moi-là.
Je vais lui écrire.
Faudrait que je fasse mes travaux de collégienne-pus-tellement-modèle, moi-là...
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