Vendredi (Jour 5), j’ai fait un peu de magasinage, toujours avec Merzbow. Drôle de constater comment je pouvais rester contemplative devant des trucs qui ne m’intéressent pas tant que ça. Au fond, ce n’est pas Merzbow qui en est responsable, mais plutôt l’absence de musique-de-boutique-de-linge-de-filles. IN-SUP-POR-TAB. Ça confirme ce que j’ai toujours pensé : les maudits beats énervants me poussent à quitter les boutiques au plus sacrant, quittes à passer à côté de beaux vêtements potables.
Ma conclusion personnelle : je risque de dépenser plus avec des bouchons d’oreilles en forme de Merzbow.
dimanche 30 mars 2008
Faire les boutiques avec Merzbow
Publié par Lora Zepam à 13:24
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6 commentaires:
hihi, on ouvre un anti-magasin Merzbow! :p
je prend un break..jusqu a lundi
Moi je pense que je sais pourquoi tu veux un break! :P
Je comprends. Ça va. Et le Jeune n'a pas encore reçu son Merzbox. Je le comprendrais aussi s'il a besoin de prendre un break.
Autrement, ça fausse l'Expérience, non?
Un break sans rien écouter d'autre ça me semble ok. Mais si vous écoutez de la musique là ça brise un peu l'expérience. Entk moi ce qui m'a fait le plus revenir sur terre c'est quand j'ai écouté autre chose que du Merzbow. Tandis qu'avec le silence sans Merzbow, on a l'impression quand meme de rester dans le meme univers (surtout quand on se rapproche du frigo!).
Evlyn, tu as comme trop raison, genre! Oué! Super bonne idée.
Je mets une note là-dessus...
Pour revenir à ta note, ça me rappelle vraiment ce que j'appelle le Syndrôme de la Pharmacie; rester des heures à errer parmis les tablettes, plongée dans une fascination abrutie des produits. Je finis toujours pas avoir trop chaud.
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